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Drôles d’Oiseaux par l’Ensemble de Caelis et les Chanteurs d’Oiseaux
Petit cabinet de curiosités ornithologiques…
L’ensemble De Caelis convie les Chanteurs d’Oiseaux à une joute poétique et malicieuse. Anges, oiseaux rares et moins rares apparaissent au fil de ce programme, où Nature et Musique
s’entrelacent.
Polyphonies anciennes du XIIe au XVIe siècle, improvisations et spectaculaires imitations d’oiseaux de Jean Boucault et Johnny Rasse, performeurs hors-normes uniques en France, se mêlent, s’entrecroisent dans un dialogue joyeux, qui fait la part belle au jeu.
Oiseaux, quelque part entre les hommes et les dieux, qui parlez leur langue secrète et enseignez ce que les hommes ne peuvent comprendre seuls ! Toute l’histoire de la musique est peuplée de leurs chants. Déjà̀ au Moyen Age, rossignol, alouette et coucou figuraient en bonne place au Panthéon des oiseaux musiciens. Au Moyen Âge, on considère que le chant humain imite le chant des oiseaux qui lui-même n’est que l’écho terrestre des anges. En 1380, le poète anglais Chaucer écrit « Le parlement des oiseaux » (The Parlement of Foules). Une cour de justice « emplumée » y délibère dans le jardin de Vénus au sujet de l’amour. Le rossignol en est le représentant le plus noble, à l’inverse du coucou, vil, qui symbolise l’amour volage et sans vertu. L’oiseau est poète, prophète et chanteur, il est l’alliance merveilleuse de l’art avec la nature.
Une belle filiation où rivalisent trilles et tours de gosier. Un bel hommage à la plume où la virtuosité se conjugue avec la grâce.
L’ensemble De Caelis convie les Chanteurs d’Oiseaux à une joute poétique et malicieuse. Anges, oiseaux rares et moins rares apparaissent au fil de ce programme, où Nature et Musique
s’entrelacent.
Polyphonies anciennes du XIIe au XVIe siècle, improvisations et spectaculaires imitations d’oiseaux de Jean Boucault et Johnny Rasse, performeurs hors-normes uniques en France, se mêlent, s’entrecroisent dans un dialogue joyeux, qui fait la part belle au jeu.
Oiseaux, quelque part entre les hommes et les dieux, qui parlez leur langue secrète et enseignez ce que les hommes ne peuvent comprendre seuls ! Toute l’histoire de la musique est peuplée de leurs chants. Déjà̀ au Moyen Age, rossignol, alouette et coucou figuraient en bonne place au Panthéon des oiseaux musiciens. Au Moyen Âge, on considère que le chant humain imite le chant des oiseaux qui lui-même n’est que l’écho terrestre des anges. En 1380, le poète anglais Chaucer écrit « Le parlement des oiseaux » (The Parlement of Foules). Une cour de justice « emplumée » y délibère dans le jardin de Vénus au sujet de l’amour. Le rossignol en est le représentant le plus noble, à l’inverse du coucou, vil, qui symbolise l’amour volage et sans vertu. L’oiseau est poète, prophète et chanteur, il est l’alliance merveilleuse de l’art avec la nature.
Une belle filiation où rivalisent trilles et tours de gosier. Un bel hommage à la plume où la virtuosité se conjugue avec la grâce.
Tarifs : 9€/4€
Eglise de St-Hilaire-du-Harcouet - 20h30
Dès 11 ans
